Il était tôt ce matin là quand Piik, accompagner de Nicolas, son fidèle ami, se trouvaient dans cette fôret. Les quelques rayons du soleils faisaient briller le pelage blanc de l'animal, ainsi que les cheveux de l'humaine. Celle-ci tenait une peluche à la main et, allongé sur une branche d'abre, laissais sa jambe se balancer au grès du vent. Elle était libre, complètement. L'air pur entrait faisais gonflé sa poitrine à un rythme lent, calme, doux. Cette enfant, du moins c'est ce que laissais paraitre son apparence, dormais. Les yeux clos, la respiration lente. Dormais-elle? Son lapinou sur ses genoux - près de la peluche, à son effigie.
Ils étaient calme, mais le resteraient-ils? Un bruit de pas, puis deux, puis trois...